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Peut-on avoir été conçu dans l’amour et faire la gueule dans les transports en commun?

ELLE – 14 Juin 2004
ONE-WOMAN-SHOW
RENDEZ-VOUS A TRINIDAD

Au « Fou du Roi » sur Inter, l’émission animée par Stéphane Bern, Trinidad aligne ses sketchs comiques d’une voix si rapide qu’on a à peine le temps d’éclater de rire, que pof, une autre vanne vient nous cueillir. La demoiselle a du métier. Cette rouquine au débit de mitraillette, qui collectionne les chapeaux excentriques, a fait ses classes au café-théâtre où elle a débuté à la fin des années 80, après une maîtrise de psycho. Son spectacle actuel fait la part belle à la chanson (hommage à la variété française et surtout à Claude François, son maître), à la danse, à l’imitation (formidable en Birkin), et invente un nouveau concept hilarant, celui de la FM ou Française Moyenne. Chacun – y compris le public – en prend pour son grade, dans une bonne humeur communicative. On est fasciné par l’énergie qui se dégage. Et on rit. Un luxe par les temps qui courent.
Michèle FITOUSSI.


LA PROVENCE – 24 Septembre 2003
TRINIDAD OU L’HUMOUR DANS LA PEAU

 » Peut-on avoir été conçu dans l’amour et faire la gueule dans les transports en commun ?  »

Voilà le genre de questions que se pose Trinidad, artiste humoriste parisienne, venue à Aix pour « rendre les gens heureux ». Et elle y arrive ! Son spectacle est un voyage dans l’esprit de la « femme actuelle ». La « FM » (française moyenne) y côtoie la shootée au chocolat et la vamp monitrice d’auto-école, le tout formant un portrait décapant et irrésistiblement drôle, même pour les hommes. « On se ressemble tous tellement », dit-elle en souriant. On finit par s’y retrouver, pour mieux se moquer. Car rire des autres et d’elle-même, c’est le credo de Trinidad depuis 20 ans. Sur scène, elle se donne « à fond » et offre un spectacle interactif – parfois proche du music-hall- qui file « à 100 à l »heure ». Imitations spectaculaires de Birkin, Bardot, Adjani et autres en disent long sur le potentiel de Trinidad. « Je voulais être chanteuse, j’ai fini comédienne », raconte-t-elle. Tant mieux pour nous ! Trinidad qui doit son nom à une marraine espagnole l’ayant prédestinée a être artiste, a la bonne humeur communicative. On sort le cœur heureux. Pari réussi pour l’artiste, qui signe ici son 6ème spectacle, et ne compte pas en rester là. Ondes positives garanties…
A. GRINAND


LES NOUVELLES PUBLICATIONS – 27 Septembre 2003
UNE HUMORISTE EXPLOSIVE

Trinidad malgré sa connation religieuse, ce prénom n’est pas porté par une nonne ou un gourou, mais par une humoriste sulfurese et survoltée. rendez-vous au Flibustier pour un spectacle hilarant.
« Peut-on avoir été conçu dans l’amour et faire la gueule dans les transports
en commun ? »
C’est sans doute la question que vous vous posez le matin, avant de vous engouffrer dans un bus étouffant ou une rame de métro bondée? C’est sans doute la question à laquelle vous espérez que le spectacle de Trinidad vous apportera une réponse éclairée, puisque tel est le titre de son one-woman show. Mais votre espoir sera déçu, car ce spectacle parle de tout, sauf de ce sujet pourtant palpitant… En une heure de spectacle défile toute une galerie de personnages aussi déjantés que ceux du cinéaste Allmodovar, et pourtant émouvants. La comédienne se glisse dans la peau de la FM (française moyenne), celle qui rêve devant les mannequins squelettiques des magazines ou les Chippendales, se démène au Gymnase CLub avant de retrouver chez elle un mari bedonnant, avachi devant la télévision. Exit le mythe du prince charmant et de la Belle au bois dormant. Tour à tour, Trinidad raconte ses rêves d’adolescente -devenir une clodette, rêver à l’Homme idéal, alias Monsieur Propre-, imite à la perfection les femmes qui ont traversé la vie de Serge Gainsbourg (Charlotte, Isabelle Adjanni, Brigitte Bardot, Jane Birkin…), se transforme en monitrice d’auto-école nymphomane, puis en politicienne gainée de vinyl, dont la campagne oscille entre Matrix et un concert de rock star. Trinidad brûle les planches comme de la dynamite et fait exploser la salle… de rire. Nul étonnement quand elle déclare : « je ne me suis jamais « emmerdée » avec ce spectacle ; c’est interactif. Je ne me suis jamais dit : pfff, je vais attaquer ce sketch, comme on va au boulot ». Avec pour seule arme, la dérision, elle parvient à ses fins, à savoir « que les gens se sentent bien et que les hommes soient déculpabilisés de tout ce qu’on leur reproche ».
UNE CARRIERE BRANCHEE SUR 100 000 VOLTS.
La comédienne dont la vocation s’est affirmée comme une évidence, n’en est pas à son coup d’essai. « Mon professeur de français de cinquième disait qu’il fallait vivre, sentir les poèmes, qu’on ne devait pas les réciter de façon léthargique. (…) Je l’ai tellement senti que j’en ai fait mon métier »… Après l’avoir entendue au Flibusier, nul doute qu’on retrouvera le nom de Trinidad ailleurs que sur les affiches des cafés-théâtres.
Violaine BRISSARD.


LE FIGARO MAGAZINE – 17 Mai 2003
FEMME FUTILE

La girl power à côté d’elle, c’est du menu fretin. Trinidad est de toutes les causes de la FM (Française moyenne) : l’égoïsme misogyne, la chocolat-dépendance, les tas d’os dans les magazines, les hommes politiques sans sex-appeal. Elle a la dent dure mais fait les yeux doux en imitant les égéries de Gainsbourg. À croire que Jane Birkin s’est coupé les cheveux. Populaire, jamais vulgaire, efficace et truculente, elle emballe en 2 temps, 3 mouvements et 4 mots. Armée de ses trouvailles, d’un talent aussi énorme qu’évident, Trinidad ne séduit pas, elle conquiert un auditoire hilare. La glace a fondu depuis longtemps pour faire jaillir le feu. Il faut le voir pour le croire.
B.T.-K.


LE DAUPHINE LIBERE – (Festival du rire de Seynod)
6 avril 2003

L’humour de Trinidad se conjuge avant tout au féminin. Véritable “one woman show”, Trinidad ne s’arrête pas une seconde et débite à une allure incroyable un texte peuplé de clins d’œil, de tendresse et de métaphores. Sur un spectacle lorgnant sur l’interactivité avec le public, la jeune artiste mêle judicieusement humour ravageur et tour de chant caustique. Charmeuse de serpent ou Claudette avertie, Trinidad use de tous ses talents d’artiste pour provoquer le rire. Le public est suspendu à ses lèvres, attentif à chaque mot, à chaque geste et se tord de convulsions désopilantes à longueur de sketches, de chansons et d’imitations.
Yannick PERRIN


LE PARISIEN – 17 Mars 2003

“Comment peut-on avoir été conçu dans l’amour et faire la gueule dans les transports en commun ?” Avec un titre de spectacle à rallonge accrocheur comme celui-là, on a forcément envie d’en savoir plus sur Trinidad, ça tombe bien, parce que cette humoriste espagnole au tempérament de feu formée au Petit Conservatoire de Mireille mérite vraiment qu’on s’intéresse à elle. Avec son charme explosif et son humour incisif, la belle Ibérique, qui investit les planches du Café de la Gare à partir de ce soir, ne manque pas de piquant. Sa cible préférée : les femmes. De la ménagère névrosée à l’accro au pouvoir en passant par la droguée au chocolat en poudre ou encore la future mère “ballonnée”, toutes en prennent pour leur grade, même si les hommes n’échappent pas, au passage, aux griffes de cette comédienne bouillonnante. La diablesse se révèle aussi être une excellente imitatrice, quand elle chante les tubes de Gainsbourg écrits pour Jane Birkin, Brigitte Bardot ou Vanessa Paradis… Une vraie tornade, drôle, délirante et pleine de talent.
Géraldine THOMAS.


PARIS BOUM BOUM – semaine du 17 au 23 Mars

De la plus douce et docile à la passionaria volcanique, Trinidad, pétulante comédienne, humoriste mais aussi imitatrice et chanteuse, nous entraîne dans les arcanes de la féminité. mais, top model anorexique ou accro au cacao, monitrice de la dernière chance, politicienne en campagne ou femmes de Gainsbourg… il y a derrière elles tous les hommes qui jalonnent leurs vies, dont certains qui se sentent “aussi inutiles qu’un pour sur le crâne d’un chauve”. Maniant la dérision et l’auto dérision en experte, Trinidad met tout le monde d’accord tant chacun en prend pour son grade et c’est le rire qui en sort gagnant !


LE DAUPHINE LIBÉRÉ 18/09/02
Des préludes à l’humour bien réussis avec Trinidad

Trinidad avait fait le plein de la grande salle du centre culturel de Lamastre pour son spectacle fort bien réussi. …
Ce soir là, une artiste du nom de Trinidad proposait son “one woman show” intitulé : “peut on avoir été conçu dans l’amour et faire la gueule dans les transports en commun?” De réponse, à cette angoissante question, il n’y en eu guère, tout au long de ce spectacle désopilant ; mais il fut plutôt question de condition féminine, revue et corrigée à la mode Trinidad, c’est à dire avec un humour corrosif d’une grande efficacité qui d’ailleurs n’oublie pas en chemin la gent masculine.
Bref c’est tout un monde peuplé de personnages cyniques, émouvants, désabusés, allant de la femme enceinte stressée à la femme politique comme on aimerait en voir plus souvent qui a défilé à un rythme époustouflant devant les yeux des spectateurs subjugués par un tel tourbillon. Et Trinidad ne s’arrête pas là, elle chante, n’hésitant pas à emprunter la voix des autres, Bardot, Hardy, Birkin, Adjani…
Un spectacle de grande qualité où tout est réglé au millimètre, un temps hors du temps, avalé à 100 à l’heure en parfaite complicité avec un public légèrement décoiffé mais sous le charme, la tornade Trinidad est passée à Lamastre, beaucoup s’en souviendront…


DRÔME INFO HEBDO 30/08/02
Humoristes : Trinidad a fait rire aux éclats

… A la Roche de Glun, c’est le spectacle de Trinidad, une espagnole au tempérament de feu, bourrée de talent, qui a laissé les spectateurs en joie avec ses réparties, ses trouvailles et jeux de mots, sa vision oh combien réaliste de la vie féminine d’aujourd’hui face à la “toute puissance” des hommes. L’égoïsme masculin en prend un coup ! Ce n’est jamais méchant, mais réaliste. Trinidad est en outre d’une grande gentillesse et simplicité avec son public… M.-T.M.


OFFICIEL DES SPECTACLES 15/01/03

… Le premier One woman show est celui de la truculente, charmante et turbulente Trinidad, qui n’a ni froid aux yeux et ni la langue dans sa poche. Et lorsqu’une femme parle des hommes, des top-modèles, du chocolat ou des chippenboys, ça décoiffe ! Et il y en a pour tout le monde car elle vise juste, avec un humour et une tendresse acidulée qui décape avec l’efficacité d’une gratounette ! Elle nous emporte aussi par ses imitations chantées (Birkin, BB, Vanessa Paradis, Françoise Hardy, Adjani et Charlotte Gainsbourg), son gouvernement de femmes ou encore son rêve d’être Claudette !
Paul Gourmet


DAUPHINE LIBERE 29/08/02
Entre frénésie et poésie

… Trinidad qui a ouvert le bal, est une artiste à part. Compromis inédit entre Isabelle Alonso -pour le culot-, Bridget Jones -pour l’esprit de combat- et Anthony Cavanagh -pour le talent multifacette- elle est unique. “Heureusement” diront certains, lessivés par tant de bruyant dynamisme. Les autres, soit la quasi totalité du public afficheront un sourire évocateur. Car on a beaucoup ri à cette rétrospective de l’adolescence de l’artiste. Si elle chante beaucoup, et souvent en play-back, Trinidad sait également parler… Entre deux morceaux, elle disserte à loisir sur la condition humaine en général -et la sienne en particulier-. De son enfance, sous tutelle tyrannique d’une mère accroc au “ménache”, il restera quelques idoles : “Monsieur Propre, John Travolta et Claude François, soit un PD, un scientologue et une victime de l’EDF…”! Un bilan mitigé pour l’ado Trinidad, qui puisera ailleurs son énergie. mais où ? Certainement pas dans l’amour d’un père alcoolique, auquel elle rend un saisissant hommage, en parodiant les interprètes féminines de Gainsbourg. Enrichi de considérations socio-politiques aussi rafraîchissantes que cinglantes, son spectacle nous aura entraînés dans un tourbillon de mots, de musique et de vie. De quoi éveiller l’intérêt du public…


14e Festival National des Humoristes de TOURNON
AOUT 2002

Trinidad. Les résonnances de son prénom – qui n’est pas un pseudonyme – peuvent vous faire trembler et vous auriez raison tant elle est « terrifiante »:
Mademoiselle Trinidad possède absolument tout ce qu’il faut – là où il faut – pour subjuguer et exciter la gent masculine tout en s’attirant l’admiration de leurs épouses!
Telle une Barbarella politisée des temps modernes, harnachée de cuir et de vinyl, la moue boudeuse façon « rock star » et le déhanchement suggestif, Trinidad s’empare de la salle avec une aisance et une assurance déconcertante. Joignant le geste à la parole, elle n’hésite pas à dresser bien haut ses deux majeurs tout en déclarant: « Si j’étais au gouvernement, j’arriverais-comme ça! ».
Mais même si l’attitude provoquante de la miss peut détourner l’attention du spectateur, on ne peut que louer les talents de la show-woman qui semble également douée pour le chant et l’imitation. Après nous avoir dépeint des frustrations d’avoir dû interrompre prématurément sa carrière de Claudette, elle n’hésite pas à rendre un subtil hommage à Serge gainsbourg en faisant intervenir toutes les interprètes de l’homme à la tête de choux: de Charlotte à Adjani, en passant par Bardot puis bien évidemment par Birkin, Trinidad finit en apothéose la – trop courte – présentation de son spectacle.
NETKIRI


Haut Anjou (06/10/00)
(Festival de l’humour de Cossé-le-Vivien)

La tornade TRINIDAD a dévasté la salle pleine à craquer de Courbeveille (plus de 200 personnes). Les spectacteurs, emportés par le souffle d’humour corrosif de l’artiste, n’ont pas résisté à tant d’énergie dévastatrice. Une volonté farouche de ne rien épargner et de déballer sans pudeur le mal de vivre féminin.
Evidemment les hommes ont été un peu malmenés dans ces clichés aux couleurs franches… mais c’était pour une bonne cause : le Rire. Et là, le public n’a pas souffert de carence : il avait à peine le temps de reprendre son souffle entre deux déferlantes d’hilarité. Des chansons parodies, joliment interprétées, rythmaient ce spectacle de hautevoltige verbale sans filet.

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