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Presse : La conversion de la cigogne

Les coupures de presse du spectacle:  La conversion de la cigogne

LA PROVENCE 30 (Janvier 2006)
Une bombe d’humour à Entressen ! .

Après le passage d’une pointure de Marseille-« Shoes »- qui a chauffé le gymnase avec son joueur de l’OM recevant Monaco, le bas peuple en somme contre les royalistes, la bombe Trinidad qui a explosé de rires lors de son voyage initiatique dans le temps. De sa naissance qu’elle a mimé à la perfection en se balançant sur les ovaires de sa mère dans son liquide amniotique à sa rencontre salvatrice avec Maître Dong, Trinidad a enfin levé le secret qu’elle portait en héritage dans son sac à dos depuis .500 ans !
« Depuis le début, vous avez merdé dans votre métier de parents, je ne suis pas une enfant objet » clame-t-elle désespérée, entre deux claques, à sa mère qui voulait faire d’elle une « vizirette », alors qu’elle rêvait de se taper M. Propre ! Lorsqu’elle passera à travers ses 7 portes, ses 7 rideaux à remonter le temps, la bouillonnante Trinidad aura perdu toutes ses illusions pour réaliser que nous sommes souvent notre pire ennemi. Entre imitations hilarantes et questions existentielles abyssales, Trinidad réussit le tour de force de toucher au cour le public en révélant ses failles qui viennent de. très loin. Sont-ce les conseils expérimentés de sa grand-mère qui l’aideront à faire face aux hommes : « tu n’allumes pas, ma petite, tu exposes tes arguments ! », les conseils de Maître Dong, son voisin de palier « Qui pisse le soir, retrouve l’espoir » ou sa vie d’artiste qui sauveront cette fille hors du commun en découvrant que « dans cette vie, la seule chose qui compte est d’être soi même » ? Un spectacle décoiffant, qui balance entre émotion, poésie et éclats d’âme par une bombe à fleur de peau.
Hélène Dehaspe


PARISCOPE hors-série théâtre (Septembre 2005)

Trinidad a du métier, des one man show, une pièce à son actif et un sacré bagout qu’elle met à profit dans l’émission de Stéphane Bern, « le fou du roi » sur France Inter. Son nouveau spectacle « La conversion de la cigogne » raconte l’histoire d’une petite fille qui devient maman puis grand-mère. Alliant humour, dérision et chanson, elle évoque les relations mère-fille, sa passion pour Claude François, ses chagrins d’amour avec un « Robert Redford imaginaire », parle de la découverte de ses origines remontant le temps jusqu’aux Conquistadores.


PARISCOPE (5 octobre 2005)

Attention cette brune fêlée ultra piquante, à la fantaisie débridée nous embarque joyeusement dans un univers loufoque, tapissé de figures fantasques, de chansons « pop-pulaires » et de phrases à l’humour cynique bien senti. Le spectacle de Trinidad relève du plaisir brut. Il nous raconte une « vraie » histoire, aussi déjantée que sa protagoniste, mais pas si folle que ça dans le fond. Une jeune femme part en quête de ses racines pour mieux se comprendre elle-même et trouver sa voie d’artiste. Mais son retour aux origines relève du parcours de Don Quichotte. Pour se retrouver face à l’aïeul conquistador (olé !), elle doit repasser par toutes les étapes de sa vie. Ce qui n’est pas triste. De la case « Comment j’ai cru séduire Robert Redford » à « Mes parents attendaient plutôt un garçon », en passant par « Je suis une ado incomprise par ma mère et je rêve d’être Claudette », Trinidad campe des personnages désopilants. Alliant dérision, folie et tendresse, la comédienne fait mouche à tout coup.
L.de R.


LE JOURNAL DU DIMANCHE (9 octobre 2005)
LA TORNADE TRINIDAD

Trinidad, la chroniqueuse qui fait mouche sur France Inter chez Stéphane Bern a décidé de s’exprimer aussi sur scène dans « La conversion de la cigogne », et de le dire à tout le monde ». Quoi ? Son secret de vie, la sagesse de ses ancêtres, sa foi en elle. Elle le dit : « L’important, c’est d’être soi ». Quoi de plus banal, en apparence. Sauf que, par le truchement de sa quête personnelle, un rien bouddhiste, la tornade Trinidad nous fait rire à chaque phrase. Son écriture est limpide, intelligente, et derrière chaque effet comique se cache le sens donné à son existence. De son premier vagissement à ses premiers pas sur scène, cette fan de CloClo et de l’Amérique latine ne laisse pas une seconde de répit. Le public en redemande.
Pas de doute, la fée Trinidad transforme en or tout ce qu’elle touche.


ELLE (31 octobre 2005)
HUMOUR VISITEZ TRINIDAD

De Trinidad, les auditeurs de France Inter connaissent la voix. Déjà trois ans qu’elle officie au « Fou du roi » : débit rapide, sourire à fleur de timbre et une façon inimitable d’entonner un refrain en plein milieu d’une phrase. Mais Trinidad a aussi un corps, qu’elle bouge avec autant d’esprit qu’elle écrit ses papiers. Son one-woman spectacle, « Trinidad. La conversion de la cigogne », raconte une histoire qui ressemble à la sienne : petite fille pas follement désirée d’immigrés espagnols, enfance entre paire de patins et paire de baffes, adolescence solitaire, désillusions amoureuses… ça pourrait être à se pendre, et c’est à se tordre. Dans la vie de cette cigogne-là passent des chevaliers en armure, une grand-mère sensuelle et philosophe, Robert Redford, des Clodettes en deuil, Gérard Berliner, un vieux sage chinois, le générique de « l’Amour en héritage », et le bonhomme au sac à dos du « Guide du routard ». Si vous aimez la voix de France Inter, vous tomberez sous le charme du personnage tendre et drôle qu’il y a autour.
Alix GIROD DE L’AIN


BIBA Novembre 2005
TRINIDAD, AGE SECRET DEFENSE, HUMORISTE

C’est l’une des chroniqueuses de l’émission de Stéphane Bern « Le Fou du Roi » sur France Inter. Tous les soirs, elle raconte sa vie au théâtre des Mathurins. Ça s’appelle « La Conversion de la cigogne », on ne sait pas pourquoi mais c’est normal… puisque ce spectacle est totalement loufoque, débordant d’énergie et follement original.


METRO 29 novembre 2005
LA DOUCE FOLIE DE TRINIDAD

Rouquine à l’accent du Sud et aux couleurs de l’enfance, Trinidad commence à se faire connaître d’un petit cercle, qui deviendra grand. On peut entendre ses chroniques drôles et chantantes sur France Inter, dans l’émission quotidienne de Stéphane Bern : « Le Fou du roi », ou la découvrir en chair et en os sur la scène du Théâtre des Mathurins dans son nouveau spectacle : « La conversion de la cigogne ». Si le titre paraît alambiqué, c’est que celui de son précédent spectacle, « Peut-on avoir été conçu dans l’amour et faire la gueule dans les transports en commun… » vous est méconnu. Dans ce nouveau one woman show, Trinidad part à la quête de son identité, qui n’est pas des plus simples. Passionnée par les armures, elle rêve de devenir Clodette et de parcourir l’Amérique du Sud en sac à dos. Faute de ne pouvoir accomplir ses souhaits les plus fous, elle les vit sur scène. Déferle alors en vrac un tourbillon de couleurs, de chansonnettes, de monologues tordants et de sketches pimentés. La conversion de la cigogne est un spectacle sur l’introspection et la quête du graal intérieur (si, si) qui se fait en compagnie d’une femme surprenante dotée d’une joie de vivre communicative.
MÉLANIE ROERO


CASTING Novembre – décembre 2005

« Peut-on avoir été conçu dans l’amour et faire la gueule dans les transports en commun ? », voilà le genre de questions que se pose la décapante Trinidad , rouquine au débit de mitraillette qui sévit notamment sur France Inter dans le Fou du roi. Qu’elle campe une shootée au chocolat ou une vamp monitrice d’auto-école, la jeune humoriste qui danse comme Claude François et imite Birkin et Bardot à la perfection emporte tout et tous sur son passage dans un grand élan de bonne humeur communicative. À suivre !


HORIZON ETUDIANTS 19 octobre 2005

Dans ce one-woman-show décapant, Trinidad nous invite à suivre l’histoire d’une petite fille aimant plus que de raison les armures, et qui rêve de découvrir l’Amérique du sud avec son sac à dos. Parviendra-t-elle à réaliser ses rêves en grandissant ?
Au travers de situations des plus comiques, de chansons et d’une étonnante mise en scène. Servi par un texte très drôle et remarquablement bien écrit (les jeux de mots y fusent) ; ainsi que par un jeu énergique et sensible de la comédienne, ce spectacle est un véritable bon moment. Attention entre deux fous rires, Trinidad arrive à nous émouvoir, voire à nous tirer une ou deux larmes. Cette talentueuse comédienne nous transporte dans son univers coloré, déjanté et tellement captivant qu’il est très difficile de quitter la salle à la fin du spectacle ! On en voudrait encore. Courez vite la voir au théâtre des Mathurins ! La seule chose à craindre serait une crampe aux joues à force de faire travailler vos zygomatiques.


NICE MATIN Avril 2005
LA VIE AGITÉE DE TRINIDAD

Il y a quelques jours, elle débarquait sur les planches du palais des congrès dans le cadre du Festi’Femmes. Avec dans ses bagages, ses sketches d’avant. Un vent de folie en musique, avec des voix qui changent et un humour décapant. Et puis tout à coup, la jolie Trinidad a changé de registre. L’humour est toujours là. L’énergie aussi. Le propos n’est plus le même. Trinidad a grandi, mûri et a choisi de prendre des bouts de sa vie comme matière première.
Un nouveau spectacle tout en finesse avec des souvenirs d’enfance qui nous renvoient à notre passé. À nos relations enfants-parents. Certains spectateurs ont qualifié le show, baptisé « La conversion de la cigogne » de conte philosophico-humoristique. C’est sans doute beaucoup de cela et bien plus. Pas question de raconter sa vie comme d’autres étalent leur intimité sur papier. Elle met en scène ses chapitres qui ont fait d’elle une femme de 40 ans (difficile à croire !) bien dans sa peau et dans sa tête.
Trinidad comédienne, Trinidad imitatrice, elle joue sur tous les tableaux, envahit la scène et évidemment lorgne du côté des spectateurs pour trouver le complice d’une soirée. C’est diablement efficace, intelligent, cocasse. Une bouffée d’air frais grâce à une comédienne qui a déjà écumé avec succès tous les plus célèbres cafés-théâtres de la capitale. Depuis un an et demi, elle est aussi une voix : chroniqueuse dans l’émission de Stéphane Bern sur France Inter. Toujours au service. du rire.
À ne pas manquer !


COSSE-LE-VIVIEN|Ouest.France le 2-3/10/2004
TRINIDAD, LA CONQUISTADORE DU RIRE S’ENVOLE AUX EMBUSCADES

“J’avais misé tout mon avenir sur mon idole survoltée et il meurt comme un con…” Pas facile à 12 ans de voir son rêve d’enfant, devenir clodette, s’écrouler en un éclair. Sur la scène de la salle Saint-Exupéry, Trinidad arbore un tee-shirt noir orné d’un transfert du visage du chanteur défunt. Dès les premières minutes de sa nouvelle création “La conversion du Störch”, le ton était donné. Avec une énergie débordante, l’humoriste franco-espagnole a emporté le public dans un univers cocasse. Avec un esprit alliant humour, dérision et causticité, le personnage interprété par Trinidad évoque ses relations avec ses parents. Pas toujours facile la communication avec la maman andalouse “quand on aime les armures plutôt que les poupées et que l’on rêve de faire l’Amérique du sud en sac à dos”.
Sur un rythme endiablé, entre chansons, danses et imitations, la tornade rousse brosse le portrait d’une enfant puis d’une jeune femme “qui a failli s’appeler Louise”. Difficile d’être une adolescente et de devenir une femme “quand sa mère en ignore la signification”. La scène de la naissance est irrésistible. Quand les rêves de gloire, devenir artiste, s’envolent, il reste à trouver le prince charmant. Malheureusement, la rencontre avec un “Robert Redford imaginaire” se fracasse souvent sur la réalité du quotidien. “A 30 ans, je me suis perdue”. Pour surmonter déception et chagrin, l’ex-future Clodette en appelle au lointain ancêtre conquistador. Une plongée dans le passé pour mieux affronter le présent et le futur. Jeudi soir, pour la première de son nouveau one-woman-show, Trinidad a frappé un grand coup. Son spectacle est un miroir pour chacun d’entre nous. La nouvelle Conquistador du rire va sans aucun doute le faire briller prochainement sur de nombreuses scènes.
Vincent CRESSARD


LE COURRIER DE LA MAYENNE 7/10/2004
+ HAUT ANJOU 8/10/2004
RE-CONVERSION REUSSIE POUR TRINIDAD

Jeudi dernier, salle St Exupéry de Cossé se jouait un moment fort du festival : la 1ère représentation de la création en résidence de l’équipe de Trinidad. Suspens total dans cet exercice de style qui implique toute l’énergie de création des artistes en résidence à Cossé pendant 2 fois 3 semaines. Jean l’Oury et son équipe ne s’y sont pas trompés en choisissant cette année Trinidad. Le public jeudi soir a pu admirer toute la maîtrise d’une artiste complète très à l’aise sur une large palette. Même si Trinidad use beaucoup de son penchant pour la comédie musicale, la série de sketches de son précédent spectacle a laissé place à une vraie histoire : celle d’une petite fille qui devient maman puis grand mère et sa rencontre avec un ancêtre. La “Conversion du Störch” est d’emblée une réussite exceptionnelle. Bien sûr, le Mammouth d’une heure trente a besoin d’être un peu dégrossi et calibré surtout à la fin mais c’est un détail… un péché de jeunesse ! En tous cas, la “conversion du Störch” en aura converti plus d’un jeudi soir.
PV

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